Je suis convaincue que ma trajectoire aurait été bien différente si, à un moment clé,
quelqu’un m’avait bousculée.
Pas avec des conseils ou des certitudes toutes faites.
Mais pour me faire entendre ce que je n’osais plus écouter.
Avec des questions frontales. Brutes.
Celles qui obligent à plonger en soi, sans filtre.
Celles qui rallument un feu qu’on croyait éteint et qui transforment.
C’est pour cela que j’ai créé mon cabinet de coaching.
Pour être cette présence-là.
Celle qui écoute sans juger, qui questionne sans diriger.
Mais cette transformation ne se décrète pas.
Elle demande du temps.
Une vraie disponibilité intérieure.
Elle naît d’une rencontre, d’un moment opportun, d’un désir profond de changement.